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Roswell, la zone 51

Le super titre trouvé sur le Web ...

Témoignage sur la zone 51 à la fin
Photos aussi...

Dans la nuit du 2 au 3 Juillet 1947, un disque brillant est observé au-dessus de la ville de Roswell située dans le désert du Nouveau Mexique. Le passage de ce disque lumineux se dirigeant vers le Nord Ouest semble attesté par plusieurs témoignages. L'affaire en serait probablement restée là si, cinq jours plus tard, les Mac Brazel n'étaient venus faire leurs courses à Roswell ...

Mac Brazel est intendant d'un ranch situé à 120km au nord de la ville. Dans la nuit du 2 Juillet la famille est alertée par une explosion toute proche. Le lendemain matin le père, accompagné de ses deux fils intrigués par les événements de la nuit, font une inspection de leur ranch et découvrent les débris d'un engin. Ce n'est donc que le 7 juillet, qu'ils signalent l'incident . Aussitôt c'est le ranle-bas de combat à la base aérienne de Roswell. L'armée établit un cordon autour du périmètre de l'impact. Enfin, le 9 juillet, deux officiers des renseignements, le major Jess Marcel et un dénommé "Cav", se rendent sur les lieux afin de récupérer les débris. Ces derniers sont chargés dans un camion et ramenés à la base aérienne de Roswell.

Après cette manoeuvre, le lieutenant Walter Haut, porte-parole de la base fait une déclaration fracassante à la presse en annonçant la récupération d'un disque volant non identifié. Mais voilà que, quelques jours plus tard, nous apprenons que le major Jess Marcel reçoit l'ordre de charger les débris dans un B-29 afin de les convoyer personnellement jusqu'à la base de Wright Field (Ohio). L'avion fait escale à Forth Worth (Texas) où le général Roger M. Ramey, prend les opérations en main. La mission est alors frappée du sceau du secret et les hommes reçoivent l'ordre de n'en parler à personne et, bien entendu, surtout pas aux reporters que la déclaration fracassante de Walter Haut ont alertés. Puis, le général Roger M. Ramey en personne annonce au cours d'une conférence de presse que "les débris ramassés près de Roswell dans le désert du Nouveau Mexique sont, après analyse, ceux d'un ballon-sonde". Fin de la première version ou, en tout cas, de la version officielle du crash de Roswell. Cependant , avant d'aborder les autres phases de cet incident, je crois qu'il n'est pas inintéressant d'analyser quelques points pour le moins étranges.

Il est bien évident qu'à propos de l'incident de Roswell on a voulu nous cacher quelque chose. Faut-il rappeler que nous sommes en 1947 c'est-à-dire en pleine psychose nucléaire ? Les relations Est/Ouest sont déjà très tendues et font planer au dessus de ces années-là l'épée de Damoclès de l'holocauste nucléaire à la sauce guerre froide.

Or, la base de Roswell est la toute première base aérienne équipée de bombes atomiques. On peut donc imaginer que des engins tenus secrets (sondes mesurant la radioactivité, défendant ou contrôlant l'espace aérien) pouvaient être utilisés. L'un d'eux s'est peut-être écrasé près du ranch des McBrazel. Il aurait donc été plus logique d'invoquer l'accident d'un tel engin sans trop insister sur sa nature pour en sauvegarder le secret, plutôt que le crash d'une soucoupe volante vite transformée en un vulgaire ballon-sonde.

Mais que signifie cette référence directe aux OVNIs ? Rappelons que nous sommes début juillet (entre le 2 et le 9). Or quelques jours plus tôt, le 24 juin exactement, par la voix de Keneth Arnold, le terme de soucoupes volantes (flying saucer) , faisait une entrée fracassante dans notre réalité et dans l'univers mental des américains. . Au congrès d'ufologie qui s'est tenu à Lyon en mai 1989, Pierre Lagrange, du centre de sociologie de l'Innovation de l'école des Mines, a raconté les trois premiers jours des soucoupes volantes. Révélant dans quel climat médiatique l'observation de Keneth Arnold fut enregistrée (il a retrouvé un disque d'une émission radiophonique), diffusée, répercutée et digérée par les milieux culturels américains. Dans cette atmosphère de guerre froide sur fond de psychose nucléaire, les responsables , aussi bien que les hommes de la rue, découvraient brusquement que des engins inconnus et technologiquement surpuissants, se baladaient impunément dans le sacro-saint espace aérien américain.

"Mais que faisait donc l'armée de l'air chargée de la protection de cet espace alors que des objets volants non identifiés, et appartenant à une technologie avancée, survolaient le territoire sans provoquer l'alerte générale ?", s'indignait la vox populi.

Car, comment un pilote aussi chevronné et de surcroît en mission, pouvait-il être victime d'une hallucination aux commandes de son engin ? Même s'il revenait bredouille et n'avait pas retrouvé l'épave de l'avion de transport dont on était sans nouvelles et qu'on supposait s'être écrasé sur le mont Rainier, Keneth Arnold n'était pas homme à prendre des nuages pour 9 lanternes magiques volant en formation. Tout le monde (ou presque) fut dons d'accord pour balayer l'hypothèse de l'hallucination.

Mais alors, si les soucoupes volantes existaient vraiment, quelle puissance pouvait fabriquer de tels engins ? Tout le monde sait, et le citoyen américain encore plus que les autres, que dans la course aux progrès technologiques, l'Amérique arrive largement en tête. Si donc l'armée de l'air américaine n'était pas aux commandes de ces soucoupes mirobolantes,

 Il se pourrait bien que l'incident de Roswell fut la réponse. Lancée un peu hâtivement peut-être par la voix de Walter Haut, à cette double question embarrassante concernant le rôle de l'armée de l'air et la nature de ces objets volants non identifiés. La première question qui vient à l'esprit est, évidemment : Que signifient ces déclarations contradictoires ?

Il est peu probable qu'un simple lieutenant, même porte parole d'un base aérienne , ait pris sur lui de lancer à la face du monde que l'US Air Force avait récupéré la carcasse d'un OVNI. Par cette déclaration, l'armée de l'air reconnaissait officiellement l'existence des OVNIs et annonçait par la même occasion, qu'elle en détenait la preuve matérielle. Non pas sous forme de débris mais carrément d'épave ! Ce qui explique la rapidité, voire la spontanéité , d'une telle déclaration. Car s'il s'agissait de simples débris, il aurait sans doute fallut une longue analyse de la nature des matériaux pour pouvoir leur affecter une origine extraterrestre .

Cette déclaration, effectuée sur les lieux même de l'incident, est cohérente avec l'observation d'un disque lumineux et l'explosion enregistrée par la famille McBrazel. Il est fort probable que la population locale aurait discuté l'explication qui aurait évacué ces paramètres. Cependant, s'il s'était agi "d'autre chose", mettons un engin expérimental ou autre du domaine top secret, il eu été facile d'évoquer un quelconque objet volant identifié ou un météorite, plutôt qu'un OVNI.

A ce stade là, on est donc amené à se dire, soit l'armée de l'air ment effrontément, et ce mensonge a pour but de rassurer la population et de prouver qu'elle ne faillit pas à sa mission et qu'elle détient déjà un de ces engins qui ont tant défrayé la chronique en violant l'espace aérien. Soit elle ne ment pas. Mais que vient faire alors ce ballon-sonde que le Général Ramey, tel un illusionniste, va sortir de son chapeau quelques jours plus tard ? Là encore, il était bien facile d'avoir recours à une autre explication. Pourquoi passer du fantastique OVNI au banal ballon-sonde ? Si dans les airs, pris dans un calme plat, il peut être confondu avec un disque métallique immobile, de là à exploser au sol...Cette déclaration aura bien sûr plus de portée que la précédente. Et c'est le ballon-sonde qui sera retenu par les médias et qui permettra de classer officiellement l'affaire.

A moins que nous ayons, derrière cette fracassante reconnaissance officielle de l'existence matérielle des soucoupes volantes puis sa négation tout aussi officielle, la première trace de ce que certains n'hésitent pas à appeler : La Grande Manipulation. ( The big Conspiracy: pour les fans d'X-files ... )

Une telle attitude aussi ouvertement contradictoire opère un effet de brouillage. Ceux qui veulent croire aux merveilleuses soucoupes optent pour le lieutenant Walter Haut, les autres qui veulent se rassurer, leur préfèrent l'autorité des étoiles du Général Ramey. Et puis il y a les sceptiques, les acharnés, ceux qui cherchent à tout prix la vérité et qui ne se laissent plus berner par les myriades des ballons-sondes qui, après enquête, ont régulièrement été confondus avec des soucoupes volantes. C'est le cas des ufologues entêtés que sont William Moore, Stanton Friedman et Charles Berlitz. Ils ont d'abord patiemment recensé dans la presse des témoignages relatifs à d'éventuels crashs d'OVNIs. Ils mirent au jour une vingtaine de cas dont certains avec cadavres retrouvés sur les lieux de l'accident et placés en suspension cyogénique.

 

Cette relative profusion leur a donné l'idée de choisir le cas le plus spectaculaire ou le plus troublant. Et c'est ainsi que dès 1974 William Moore a repris l'enquête sur les lieux même de l'incident de Roswell. Rapidement rejoint par Stanton Friedman, ils interrogèrent 92 personnes dont 30 témoins directs. Ils ont même retrouvé le major Jess Marcel.

Ce dernier leur apprit que les débris (peut-être pour rester en accord avec le Général Ramey il n'est plus question d'épave) étaient constitués d'une matière dure, flexible et voisine du balsa portant des sortes de hiéroglyphes. Il y avait aussi une substance brune, semblable à du parchemin, et une grande quantité de fragments de métal léger, très résistant et ressemblant à du papier argenté. Enfin, une petite boite noire et carrée mesurant quelques centimètres de côté.

Un des débris du crash de Roswell

Photo d'un de ces débris ...

(ou simple pièce mécanique ? )

 

Les fermiers aussi bien que les militaires testèrent aussitôt ces matériaux. A leur grand étonnement ils s'avérèrent indestructibles. Résistant aux coups de marteaux, les feuilles qui ressemblaient à du métal étaient indéchirables. Tout cela était fort troublant et si le haut degré technologique ne faisait pas de doute, personne n'a encore apporté la preuve que ces matériaux étaient d'origine extraterrestre. La seule chose sur laquelle personne ne peut aujourd'hui avoir de doute, c'est qu'il ne peut s'agir là des débris de ballon-sonde. Mais cela ne nous dit toujours pas pourquoi l'armée de l'air s'est livré à un tel brouillage, ni ce qui se cache derrière ce brouillage.

 

Dans leur livre The Roswell Incident (New York : Berkeley Books 1988) Charles Berlitz et William Moore affirment que, derrière cette version édulcorée, se cache une vérité beaucoup plus fantastique encore. A plusieurs kilomètres du Ranch de McBrazel et donc du premier point d'impact, c'est-à-dire des débris, les enquêteurs militaires auraient découvert un véhicule ovoïde écrasé au sol et occupé par quatre cadavres humanoïdes.

En contre point de la version officielle, in traînait depuis longtemps sur Roswell des rumeurs de présence d'EBE (sigle utilisé par le gouvernement US pour Entités Biologiques Extraterrestres ). Personne évidemment n'osait y croire. Et puis là tout d'un coup, sous la plume d'enquêteurs sérieux et entêtés, nous faisions un pas de plus dans le domaine du fantastique. L'informateur (aujourd'hui décédé) qui les mit sur la voie et fût leur principale source est un certain Meade Layne directeur d'un centre de recherche sur les OVNIs : le Borderland Sciences Research Fondation à Vista (Californie). Le Dr Weisberg, professeur de physique dans une université californienne, lui aurait avoué avoir examiné le corps de six occupants (le nombre n'est jamais stable) de l'OVNI qui s'est crashé à Roswell. En fait une partie de l'épave aurait été chargée dans un camion et expédiée à la base aérienne d'Edwards via Flagstaff (Arizona) puis Needles et Cadiz (Californie). Les restes auraient été regroupés avec d'autres matériaux provenant d'autres crashs dans le "Bâtiment 18 - A, zone B" de la base aérienne de Wright-Patterson près de Dayton.

Un petit gris ??

La photo présumée d'un des occupants de l'OVNI ...

 

Depuis, d'autres révélations encore plus fantastiques ont vu le jour, comme si le livre de Moore et de Berlitz avait soulevé le couvercle d'une cocotte. Mais le point central de toutes ces rumeurs est que le gouvernement américain est sur le point de révéler la vérité sur les soucoupes écrasées mais aussi sur le phénomène OVNI lui-même. C'est une opinion que partagent William Moore et qu'il a défendu à la rencontre ufologique de Lyon, d'autant qu'il est en contact avec des gens qui affirment avoir vu des corps. Il a depuis communiqué une partie de ces témoignages qui sont effectivement très troublants.

Cependant, comme le faisait remarquer Jacques Vallée, toujours à ce même congrès, comment se fait-il que personne ne parle d'odeur de putréfaction ? En effet, et William Moore le confirme, le crash aurait eu lieu le 2 juillet et le ramassage de l'épave le 9. Or nous sommes en plein désert du Nouveau Mexique sous un soleil écrasant. Sans parler des oiseaux prédateurs. Et si les corps étaient restés hermétiquement coincés dans une carcasse métallique, ce serait encore pire... C'est pourquoi il va falloir reparler de la Grande Manipulation. Car sur ce terrain-là, comme dans un scénario de X-Files, il est rare qu'une certitude ou une vérité n'en cache pas une autre.

 Des informations relatives au secret du phénomène OVNI arrivent aussi par des sources semi-officielles . Ce sont en général d'ex-agents des renseignements de l'armée qui se livrent à des révélations fantastiques concernant les EBE. Ces anciens du renseignement sont, soit missionnés, soit agissent à titre privé pour ne plus taire d'horribles secrets. L'armée serait non seulement en possession de cadavres mais aussi d'un ou deux spécimens vivants. A cause de leur petite taille (entre 120 et 150 cm), de la couleur grise de leur peau et de leurs yeux protubérants, ces EBE sont surnommés les Petits Gris.

Extrait de la vidéo de J. Pradel ...

C'est à ce type d'informateurs que l'on doit en général de multiples documentaires concernant des autopsies qui circulent dans le milieu et se vendent à prix d'or. L'un deux a atterri dans la célèbre émission de Jacques Pradel. On a découvert comment l'authenticité d'un tel document s'est avérée plus que douteuse.

 

Grâce au travail effectué sur l'incident de Roswell nous avons vu comment l'armée de l'air sait distiller le chaud et le froid, le vrai et le faux pour mieux brouiller les pistes et camoufler les faits. une telle attitude est extrêmement dangereuse car, au nom d'une vérité jamais révélée, elle autorise toutes les rumeurs. Et c'est ainsi que du Hangar 18 on est passé à la zone 51.

Que sont les accidents de soucoupes et les autopsies de cadavres de Petits Gris face à la vraie vérité ? Celle que, selon certains, l'armée n'ose même pas nous révéler. A moins que, instillant le vrai et la faux, elle nous prépare au contraire à la recevoir. Selon ces sources tournant autour d'ex-agents du renseignement, il existerait des extraterrestres bien vivants qui travaillent aux coté des meilleurs scientifiques américains dans des bases secrètes, un peu partout dans l'Ouest des Etats-Unis, et tout particulièrement au Nevada dans la zone 51.

Depuis Longtemps circule une rumeur persistante : Le gouvernement américain sait parfaitement ce qui se cache derrière l'insaisissable phénomène OVNI. Au cours de ces dernières années cette rumeur s'est doublée de la promesse imminente de révélations de la vérité. En fait, depuis Keneth Arnold, on apprend régulièrement - surtout aux USA - que l'armée étaient des épaves d'OVNIs avec des cadavres, que des savants les étudient et que, sous peu, le gouvernement nous informera du résultat de ces recherches. On voit combien l'incident de Roswell renforce ce genre de rumeur.

On pourrait croire qu'une telle rumeur prend sa source au sein même de ceux que le mystère OVNI intrigue ou inquiète. Voire exaspère. Mais, s'il existe dans le public une réelle attente, un réel désir que ce mystère soit enfin élucidé, les principales sources de ces rumeurs ce trouvent chez ceux-là mêmes qui prétendent tout savoir. C'est-à-dire l'armée. Et principalement l'armée de l'air. Encore et toujours. En 1974, Sandler qui préparait une émission TV sur les OVNI fut reçu par Paul Shartle, chef de la sécurité et responsable des programmes audiovisuels de la base de Norton. Il lui affirma avoir vu le film d'une vraie rencontre entre les militaires américains et extraterrestres.

Evidemment, toute la question est de savoir s'il s'agit d'un film de simulation, presqu'une fiction, ou d'un reportage pris sur le vif. Quoiqu'il en soit, ce film promis à plusieurs personnes , et attesté par diverses sources officielles, n'a jamais été communiqué. Comme la vérité sur les ovnis détenue par l'armée de l'air, on l'attend toujours. Qui se livre à de telles manipulations et dans quels buts ? L'armée de l'air nous dissimule-t-elle son ignorance ou instille-t-elle dans le public une vérité impossible à révéler ex abrupto ? Certaines apparitions d’OVNIs ainsi que certains témoignages - pas des moins tapageurs - sont des faux notoires ou le fruit de manipulations et de contrôles des services de renseignements. Ainsi, en France, l'affaire de Cergy-Pontoise et l'enlèvement de Franck Fontaine. Quant aux carcasses d’OVNIs et aux cadavres d'EBE, selon ces mêmes sources officielles, ils sont entassés dans le fameux bâtiment 18-A Zone B de la base aérienne de Wright-Patterson, devenu le hangar 18. Dans les milieux qui s'intéressent - dans l'ombre ou en plein soleil - aux ovnis, ces secrets sont tellement connus que Hangar 18 est devenu le titre d'un film. Réalisé par James Conway, avec Darren McGavin et Robert Vaughan, le film est sorti aux USA en 1980.

Roswell Daily Record for Tuesday, July 8, 1947.


RAAF Captures Flying Saucer On Ranch in Roswell Region

No Details of Flying Disk Are Revealed

Roswell Hardware Man and Wife Report Disk Seen

The intelligence office of the 509th Bombardment group at Roswell Army Field announced at noon today, that the field has come into possession of a flying saucer.

According to information released by the department, over authority of Maj.J. A. Marcel, intelligence officer, the disk was recovered on a ranch in the Roswell vicinity, after an unidentified rancher had notified Sheriff Geo. Wilcox, here, that he had found the instrument on his premises. Major Marcel and a detail from his department went to the ranch and recovered the disk, it was stated.

After the intelligence officer here had inspected the instrument it was flown to higher headquarters. The intelligence office stated that no details of the saucer's construction or its appearance had been revealed.

Mr. and Mrs. Dan Wilmot apparently were the only persons in Roswell who seen what they thought was a flying disk.

They were sitting on their porch at 105 South Penn. last Wednesday night at about ten o'clock when a large glowing object zoomed out of the sky from the southeast, going in a northwesterly direction at a high rate of speed. Wilmot called Mrs. Wilmot's attention to it and both ran down into the yard to watch. It was in sight less then a minute, perhaps 40 or 50 seconds, Wilmot estimated. Wilmot said that it appeared to him to be about 1,500 feet high and going fast. He estimated between 400 and 500 miles per hour.

In appearance it looked oval in shape like two inverted saucers, faced mouth to mouth, or like two old type washbowls placed, together in the same fashion. The entire body glowed as though light were showing through from inside, though not like it would inside, though not like it would be if a light were merely underneath.

From where he stood Wilmot said that the object looked to be about 5 feet in size, and making allowance for the distance it was from town he figured that it must have been 15 to 20 feet in diameter, though this was just a guess. Wilmot said that he heard no sound but that Mrs. Wilmot said she heard a swishing sound for a very short time.

The object came into view from the southeast and disappeared over the treetops in the general vicinity of six mile hill.

Wilmot, who is one of the most respected and reliable citizens in town, kept the story to himself hoping that someone else would come out and tell about having seen one, but finally today decided that he would go ahead and tell about it. The announcement that the RAAF was in possession of one came only a few minutes after he decided to release the details of what he had seen.

 

The Zone 51

Sur les cartes officielles des Etats-Unis, on peut voir une région dépourvue de la moindre caractéristique et simplement dénommée « Zone 51 ». Selon ces cartes, les cours d’eau s’arrêtent à ses frontières, aucune route n’existe à l’intérieur et sa topographie est uniformément plate. Une enquête peu poussée révèle que la Zone 51 est en réalité une partie excentrée de la base aérienne ultra-secrète de Nellis. La Zone 51, est un territoire sans valeur marchande aucune, mais incroyablement bien protégé. La Zone 51 et la base de Nellis sont pourtant bien réelles. Nombre de personnes croient que c’est ici que sont conservés les restes de l’ovni qui s’est écrasé à Roswell, au Nouveau Mexique.

 

À environ 190 kilomètres au nord-ouest de Las Vegas, dans le désert du Nevada, la carte officielle devient soudainement muette. Rien de ce qui se trouve dans cette zone n'y est mentionné : pourtant, il y a des montagnes et des ravins impressionnants, des bâtiments de bonne taille ainsi qu'une immense piste d'envol longue de 9,5Km. Mais rien de tout cela ne figure sur la carte. Sur un territoire de la taille de la Suisse, il semblerait que toute activité humaine ait été volontairement occultée.

 

 

 

 

 

 

L'accès à cette zone est interdit. Des panneaux placés à ses limites indiquent que "l'utilisation de la force armée est autorisée à l'encontre des intrus". En outre, l'espace aérien surplombant l'endroit est le plus inviolable des Etats-Unis. Nous sommes sur le territoire de la Nellis Air Force Range et du site nucléaire du Nevada, plus communément appelé Zone 51 (Area 51), suivant l'ancienne désignation officielle du lieu.

 
 

La Zone 51 fut établie en 1954 pour servir de base secrète à la Lockheed Aircraft Corporation, société d'aéronautique qui mettait alors au point des avions-espions pour le compte de la CIA et du Pentagone. Ce site d'essais servait encore récemment aux projets de défense les plus avancés mis en œuvre par les Etats-Unis. Le bombardier furtif Stealth fut testé sur cette base, comme d'autres engins de conception futuriste. Compte tenu de ces activités, la base a toujours été entourée du plus grand secret - l'US Aire Force (USAF) n'en a reconnu l'existence qu'en 1994 - car c'est là que se trouve le fer de lance de la technologie militaire américaine. Or, d'après certains éléments d'information récents, la technologie du site aussi bien que ses employés ne serait pas uniquement d'origine américaine. Tout ou partie serait extraterrestre !

 

UNE TECHNOLOGIE EXTRATERRESTRE ?

Les autorités américaines montrèrent en effet un embarras évident lorsqu'un ancien technicien du site allégua qu'il existait une activité ovni au-dessus de la Zone 51. Pour compléter cette très surprenante déclaration, cet informateur ajouta et qui plus est l'aviation américaine travaillait activement avec la technologie extraterrestre. C'est sur un plateau de télévision, en mai 1989, que Bob Lazar fit ces déclarations (voir plus bas). Cet informateur devait savoir de quoi il parlait : Lazar avait occupé, sous contrat, un poste de scientifique sur la base pendant cinq mois à partir de décembre 1988. Il révéla que le gouvernement américain y conduisait un programme d'examen de neuf soucoupes volantes et tentait d'adapter la technologie extraterrestre à ses propres fins. Quand Lazar fit ce témoignage public, il opéra dans l'ombre : il se présenta sous un nom d'emprunt, "Denis", et sa voix fut modifiée électroniquement. Cette prudence lui était dictée par le fait que sa femme et lui avaient déjà fait l'objet de menaces de mort. Les précautions prises eurent peu d'effet : dans les jours suivant l'interview, les menaces de mort se succédèrent et on tira des coups de feu sur sa voiture. En novembre de la même année, afin de prévenir ce genre d'incidents, Lazar décida de jeter le masque. À cette occasion, il donna plus de détails encore, décrivant notamment le site ultra secret "S4", situé à l'intérieur de la Zone 51, près du Lac Papoose (voir carte), lieu où les engins extraterrestres étaient remisés. Il précisa les fonctions qui avaient été les siennes sur ce site : au sein d'une équipe de 22 ingénieurs, il avait été engagé pour tenter de comprendre le système de propulsion des ovnis.

À L'INTERIEUR DU S4

Selon Lazar, le S4 était un vaste complexe souterrain occupant la surface d'une chaîne de montagne entière. Au début, il pensait travailler sur une technologie humaine très avancée. Mais lorsqu'il pénétra à l'intérieur de l'un des disques, il acquit la conviction que tout cela venait d'un autre monde car ni la forme, ni les dimensions ne semblaient provenir de la main de l'homme. "Il n'y a pas de joint physique, pas de soudure, ni boulons, ni rivets apparents" dit Lazar. "Tout objet présente une sorte de bord arrondi, comme s'il avait été moulé dans la cire, chauffé, et ensuite refroidi". Poursuivant ses descriptions, Lazar fait état de hublots, de voûtes et de tous petits sièges hauts de 30 cm. Quant à ce qui avait été identifié comme l'unité de propulsion, il s'agissait d'un objet de la taille d'un ballon de rugby, capable de produire un champ anti-gravité traversant l'engin par une tuyère verticale.

La documentation que Lazar put consulter par ailleurs confirma ses soupçons. Il y trouva sur le site une masse étonnante d'informations relatives aux ovnis, y compris les images d'une autopsie de petits êtres grisâtres et chauves. D'après les documents compulsés par Lazar, ces extraterrestres étaient répertoriés comme venant du système stellaire Zeta Reticulli. Il y était également question d'un incident survenu en 1979, au cours duquel des extraterrestres avaient tué des gardes de la sécurité et un scientifique de la base. À la lumière de ces éléments, il ne faisait plus aucun doute pour Lazar qu'il s'agissait l à "d'engins extraterrestres, fabriqués par une intelligence extraterrestre, avec des matériaux extraterrestres". Lazar n'affirme pas catégoriquement avoir vu des extraterrestres au S4. Mais il assista en revanche à une scène étrange. Passant un jour devant une pièce dont la porte était ouverte, il vit deux hommes en blouse blanche "regarder vers le bas et s'adressant à un petit être aux longs bras... Ce fut une vision brève. Je n'ai aucune idée de ce que cela pouvait être", dit Lazar.

 

INFORMATIONS FIABLES ?

 

Lazar emploie-t-il des clichés sur les ovnis pour se faire un peu de publicité ou peut-on croire ce qu'il raconte ? Plusieurs éléments viennent toutefois corroborer ses affirmations. D'après George Knapp, qui interviewa Lazar à la télévision, plus d'une douzaine de personnes se sont depuis manifestées pour compléter et étayer ses propos. Knapp a ainsi pu filmer le témoignage d'un homme ayant dirigé plusieurs programmes militaires de grande ampleur à la base Nellis. Ce témoin prétend que les autorités disposent d'extraterrestres et de leur technologie depuis les années 50. Hélas, cette bande vidéo ne pourra être visionnée qu'après la mort de cet homme. Aucun des autres témoins n'accepte de se montrer au jour car ils craignent des représailles.

MENACES DE MORT

Un journaliste d'une autre chaîne de télévision qui souhaitait enquêter sur la Zone 51 se heurta aux même réticences. Un ingénieur électricien qui affirmait avoir vu une soucoupe volante se déclara prêt à participer à une émission télévisée. Mais il se ravisa après avoir constaté la présence d'individus, vêtus de sombre, stationnant nuit et jour dans des voitures près de son domicile. Un autre témoin reçut des menaces directes. On lui dit : "Nous savons que vous voyagez beaucoup, et ce serait tellement dommage que vous ou votre famille ne soit victime d'un accident". Si l'on observe Lazar dans ses prestations télévisuelles, il apparaît comme une personne posée, calme et sans prétentions. Il ne s'avance pas sur des domaines qui ne lui sont pas familiers. Il a de plus toujours avancé la même version des faits - chose difficile et rare en matière de faux témoignages. Toutefois, sa crédibilité peut être mise en doute car il soutient être titulaire de diplômes délivrés par deux universités américaines prestigieuses, sans jamais en avoir apporté la preuve. Par ailleurs, il a connu une faillite commerciale et a été condamné à des travaux d'intérêt général pour avoir participé à la gérance d'une maison close. On peut également s'interroger sur les motivations de Lazar. Selon lui, il a décidé de parler parce que garder le silence aurait été une insulte à la science et aux citoyens américains. Ces nobles intentions ne l'ont pas empêché de vendre ses dessins d'engins extraterrestres sous forme de maquettes, et d'en céder les droits pour un film racontant son aventure. Mais gagner de l'argent n'est pas un crime, surtout aux Etats-Unis, et les quelques taches sur son passé ne signifient pas qu'il soit foncièrement malhonnête. Quoi qu'il en soit, un doute subsiste sur la véracité de certains de ses propos. Lazar affirme par exemple que, de 1982 à 1984, il a travaillé au Laboratoire National de Los Alamos au Nouveau-Mexique, dans le cadre de l'Initiative de Défense Stratégique "Guerre des Etoiles". Le journaliste George Knapp enquêta à ce sujet, et s'aperçut que le nom de Lazar figurait bien à l'époque sur l'annuaire du laboratoire de Los Alamos. Mais le fait a été catégoriquement démenti par les autorités militaires: selon elles, il n'y aurait aucune trace d'un tel engagement. En revanche, le gouvernement n'a jamais nié que Lazar avait travaillé à la Zone 51, ce qui est confirmé par ses déclarations d'impôt.

CONFIRMATION VIDEO ?

D'autres données accréditant les dires de Lazar ont été récemment produites. En 1995, une société cinématographique allemande diffusa une cassette vidéo, Secrets du Monde Noir, dans laquelle plusieurs témoins confirment que la Zone 51 est le théâtre d'une activité pour le moins étrange. Par exemple, Norio Hayakawa, cameraman de la télévision japonaise, resta éveillé toute une nuit afin d'entrevoir un ovni décollant de la Zone 51. Il filma en effet un objet lumineux planant au-dessus des montagnes et à travers le ciel. L'analyse du film fait dire à Hayakawa que l'objet n'était "certainement pas un avion de type classique". Beaucoup d'autres films montrent à peu près la même chose: un objet extrêmement lumineux se déplaçant à une vitesse incroyable et effectuant des manœuvres aériennes impossibles. L'un de ces objets s'est même approché d'une équipe de la télévision de la NBC : les journalistes sont revenus avec des brûlures proches de l'irradiation. Un autre reporter a réussi à s'introduire à l'intérieur du S4, et a pu filmer une salle remplie de grands récipients dans lesquels, selon lui, étaient stockés des cadavres d'extraterrestres.

La cassette vidéo allemande présente deux soi-disant ovnis : l'un ressemble fort à un avion à réaction classique volant à basse altitude, l'autre est en fait une séquence mal montée d'un avion en piteux état. Par ailleurs, des spécialistes en aéronautique, tel l'écrivain Jim Goodall, affirment qu'au moins huit programmes de vols spatiaux sont en cours sur la Zone 51. Ces Black Programs, projets ultra secrets au budget annuel estimé à 35 milliards de dollars, on permis au bombardier furtif Stealth (furtif) de voir le jour. Et l'on sait qu'ils incluent des essais d'avions-sondes sans pilotes dont la vitesse et la maniabilité pourraient facilement faire croire qu'il s'agit de soucoupes volantes. Cette probabilité n'explique pas tout. Goodall fait état d'engins silencieux et incroyablement rapides (l'un d'eux, suivi par le Federal Aviation Administration Center, filait à 16 000 Km/h, soit environ treize fois la vitesse du son) et s'interroge légitimement sur la compatibilité entre de telles vitesses et la technologie humaine. Goodall interviewa un ancien ouvrier de chez Lockheed qui affirma: "Nous possédons des engins dans le désert du Nevada qui feraient baver d'envie Georges Lucas". Egalement interrogé par Goodall, Ben Rich, ancien président de la Lockheed Advanced Development, déclara : "Oui. Je crois fermement que les ovnis existent". Lazar indique que ceux qui travaillent au sein du S4 portent des badges portant le nom de code "Maj". S'agit-il du Majestic 12, le groupe ultra secret de recherche sur les soucoupes volantes créé par le président des Etats-Unis en 1947 ?

 

 

Photo aérienne du Lac Groom

 La zone 51 est a la fois le secret le mieux et le plus mal garder de ces dernières décennies. Chacun sait ou elle se trouve, et quand on voit les panneaux interdisant l’entrée aux visiteurs, proscrivant formellement de braquer des appareils photo et camescopes sur tout ce qui se trouver au delà des immenses clôtures, il est difficile de croire qu’il n’y a rien au là-dedans. De fait, il n’y a vraiment pas grand-chose à voir, du moins depuis les quelques positions élevées qui n’ont pas étaient englobées dans la zone. Les bâtiments, une piste de cinq kilomètres de long, beaucoup d’antennes de télécommunication, c’est à peu près tout. C’est pourtant la que l’U-2 a été conçu et testé et que l’on a donné le jour à l’avion espion SR-71 qui devait survoler Cuba durant les années 60. C’est enfin le bercail du bombardier furtif, projet que le gouvernement niait encore avec vigueur plusieurs mois après que des photographies du nouvel avion eurent étaient distribuées. En dépit des recherches aéronautiques secrètes menées à la Zone 51 et du fait que chacun sait où il se situe, il est difficile de confirmer tout témoignage évoquant d’étranges lueurs dans le ciel ou des bruits bizarres dans les bâtiments : certains vont même jusqu'à affirmer que les ovnis survolent régulièrement la région ! La Zone 51 n’est rien d’autre qu’un fragment de l’énorme terrain d’essai du nouveau Mexique, dont aucune partie n’est accessible au public. Groom Mountain constitue une imposante barrière physique, et pour accéder de l’autre côté il faudrait marcher pendant plusieurs heures en plein désert.

 

Les gens se montrent curieux quand une chose est si ouvertement cachée. En 1984, par exemple, un document fut divulgué, proclamant que le projet Aquarius, mené par l’organisation Majestic 12 (ou MJ-12), avait permis depuis 1972 de récupérer les vaisseaux extraterrestres qui volaient dans le ciel du nouveaux Mexique. Personne ne pris position sur ce sujet comme c’est toujours le cas pour la Zone 51.

La National Security Agency (NSA) s’empressa de reconnaître l’existence du projet Aquarius, mais elle fut tout aussi prompte à nier un quelconque rapport avec les ovnis. Quelle est la nature exacte du projet Aquarius ? C’est encore un mystère, qui ne fait qu’attiser l’intérêt du public pour les installations, dont, l’expansion entraîne obligatoirement des expropriations.

 Avec une telle demande d’information et pas la moindre réponse officielle, l’apparition soudaine d’un certain Bob Lazar provoqua l’émoi de tous ceux qui cherchaient à découvrir ce qui se tramait au pays imaginaire. Cet homme prétendait avoir travaillé dans les installations secrètes mais il semblait surtout désireux de décrire publiquement tous ceux qu’il avait vu ou entendu.

Sur une chaîne de télévision du nouveau Mexique, Lazar raconta avoir travaillé au S-4, tout à coté de la Zone 51, et examiné pas moins de 9 vaisseaux extra terrestres.« Haut-de-forme » ou « Trophée sportif » étaient quelques-uns des noms pour lesquels il désignait les appareils observés. Ses descriptions correspondaient à celles d’observateurs vivant dans des pays aussi éloignés les uns des autres que l’Allemagne et l’Argentine : elles ébranlèrent à la fois les sceptiques et les convaincus. Les sceptiques furent impressionnés par le fait que Lazar ne s’était pas contenté de voir des vaisseaux extra terrestres ; il les avait aussi touché.

Une des preuves apportées par Mr Lazar ...

 Les convaincus affluèrent en masse vers les rares points d’observations proches de la Zone 51, adhérant sans le moindre soupçon aux déclarations de Lazar. S’il était sérieux, c’était le premier signe positif indiquant que toutes les spéculations, toutes les heures passaient à scruter le désert depuis Freedom Ridge, tous les efforts consacrés à fouiller dans des milliers de documents sous le couvert de la loi sur la Liberté de l’information étaient autre chose que le fruit d’esprit « en proie à des fantasmes ».

 Si Lazar était sérieux ... Plusieurs années après, la question se pose toujours.

Lazar dit être diplômé de plusieurs universités : celles-ci répliquent qu’il ne les a jamais fréquentées. Il soutient avoir travaillé dans un autre site ultra-protégé, Los Alamos ; là aussi, on nie catégoriquement le connaître. Même l’hôpital ou il est né est incapable de prouver l’existence de Bob Lazar. Cela suffit pour que les sceptiques crient au charlatan : quant aux autres, ceux dont Lazar a attisé l’imagination, ils n’y voient qu’une manipulation des autorités.

Une enquête approfondie a mis au jour des informations qui contredisent la version officielle, selon laquelle Lazar n’est qu’un affabulateur. Ainsi, le nom de Lazar se trouve bel et bien dans l’annuaire téléphonique du site expérimental de Los Alamos, parmi ceux des autres scientifiques et techniciens (édition de 1982), même si l’administration de Los Alamos s’obstine à déclarer que Lazar n’y a jamais travaille. Un entretien publié par un journal de Los Alamos révéla que Lazar résidait bien dans la région, qu’il était physicien et même qu’il était amateur de voitures de sport. Ces quelques éléments suffisent grandement pour entretenir le doute.

Si Lazar dit la vérité, c’est la première fissure dans le mur du silence qui se dresse depuis un demi-siècle. Les observateurs de Freedom Ridge n’auront peut-être pas besoin de passer le reste de leur existence en haut de la montagne. Ce qui est caché se révélera peut-être à eux.

Galerie photo

 

Mythe ou réalité ??

 

OVNI ou Trucage ??

 

Juste un formation nuageuse spécifique

Nom : Bob Lazar
Lieu de résidence : Las Vegas, NV
Rôle : Affirme avoir travaillé dans la Zone S-4 de la Zone 51.
Bob Lazar

Qui est Bob Lazar ?

Bob Lazar affirme avoir travaillé sur un vaisseau extraterrestre sur une base secrète à Papoose Lake, à peu près à 80 milles au nord de Las Vegas. Lazar a premièrement fait ces déclarations sur les ondes d'une station de télévision locale en novembre 1989. Il affirma avoir travaillé à la base appelée "Zone S-4" à Papoose Lake, au sud de la fameuse base " Zone 51 ", à la fin de 1988 et au début de 1989. Il affirma aussi avoir vu neuf soucoupes volantes remisées dans un hangar construit dans le flanc d’une montagne. Il aurait effectué lui-même des expériences sur un des appareils et il prétend qu’il peut décrire en détail son système de propulsion. Il aurait aussi lu des rapports confirmant la présence d’extraterrestres en ces lieux, mais n’en aurait jamais vu lui-même. Son histoire est, presque par définition, invérifiable, puisque personne ne peut aller à Papoose Lake pour vérifier ses dires. Les seules choses que nous pouvons investiguer sont les allégations entourant l’histoire. En effet, s'il ne dit pas la vérité quant aux choses qu’il nous est possible de vérifier, comment pouvons-nous croire ce que nous ne pouvons vérifier ? Lazar a menti quant à sa formation scolaire et à la position qu’il occupait à Los Alamos. Il clame que ses diplômes ont disparu et que le gouvernement l’a tout simplement effacé des fichiers. Cependant, rien ne vient corroborer ses dires. En fait, seuls ses rapports scolaires sont manquants, qui peuvent tout simplement n’avoir jamais existé. De plus, il semble que Lazar ait travaillé à Los Alamos comme un technicien réparateur, et non comme un scientiste senior comme il l'affirme. Rien ne prouve non plus que Lazar ait jamais visité Zone 51. En effet, contrairement à l’existence de la Zone S-4, cette information a pu être confirmée officieusement par des employés de la base secrète. Lazar affirme qu’il a fait escale à la Zone 51 pour se rendre à la Zone S-4. Il s’y serait rendu par un vol quotidien utilisé par des centaines d’autres travailleurs. Même si la Zone 51 n’a été qu’un point de transfert pour lui, Lazar a été incapable de décrire les installations de l’aéroport ou encore de décrire quelle était la première chose que l’on voyait en descendant de l’avion. La théorie la plus simple pour expliquer l’histoire de Lazar est qu’il a tout simplement inventé cette histoire pour leurrer John Lear, qui racontait des histoires extravagantes sur la présence d’extraterrestre à la Zone 51 depuis quelques années déjà. Lazar aurait tout simplement raconté une version plus rationnelle de l’histoire que Lear voulait entendre. D’autres théories plus complexes prétendent que Lazar a réellement pris part à des expériences sur des soucoupes volantes extraterrestres, mais qu'elles se seraient produites à un autre endroit et dans des circonstances différentes. Toujours selon cette théorie, Lazar aurait été utilisé (volontairement ou non) dans une machination du gouvernement des Etats-Unis ou d'un autre gouvernement étranger (par exemple, les Soviétiques auraient pu l'utiliser pour prouver ou discréditer les activités de la Zone 51). La thèse de la fraude est cependant rejetée puisque Lazar lui-même et un de ses principaux supporters Gene Huff ont à maintes reprises ignorées des occasions en or pour faire de l'argent avec cette histoire (même si Lazar a autorisé la conception d'un film ainsi que la vente d'un modèle réduit de la soucoupe sur lequel il aurait travaillé, Lazar semble désintéressé à profiter financièrement de son histoire).

Cependant, grâce aux attaques virulentes de Gene Huff à l'endroit de tous ceux qui mettent en doute la véracité de l'histoire de son protégé, il est très difficile de trouver des ufologues prêts à soutenir Lazar, même chez ceux qui veulent le croire à tout prix. En mettant de côté les mensonges et les magouilles de toutes sortes, l'histoire de Bob Lazar reste à tout point très intrigante. La façon dont il raconte son histoire, en utilisant toujours les mêmes termes, sans ajouter aucun détail, son scepticisme par rapport à d'autres phénomènes ufologiques et sa volonté de se soumettre à l'hypnose et au détecteur de mensonges restent inexpliqués. En effet, le polygraphe (détecteur de mensonges) fut concluant et l'hypnotiseur qui a examiné Lazar affirme que ses réponses émotionnelles face à son expérience dans la Zone S-4 n'ont pas été simulées. Futilement, les affirmations de Lazar ont amené le monde entier à se poser la question : "Que se passe-t-il réellemnt dans la Zone 51 ? "

 

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